mercredi 28 décembre 2011

Les Ménines - Sommaire

Détail des Ménines de Diego Velasquez

Cette partie du blog est consacrée aux Ménines, un tableau de Diego Velázquez peint en 1656 et dont vous voyez un détail ci-dessous. Pour plus de clarté, voici un sommaire des articles étudiant cette oeuvre.

Ces articles sont les premiers que j'ai publiés à l'ouverture de mon blog, il y a presque six ans. Si je devais les réécrire aujourd'hui, ils seraient sans nul doute très différents. Reste que c'est en les rédigeant que j'ai véritablement découvert les Ménines, et le goût des œuvres de Diego Velázquez ne m'a pas quittée depuis. C'est la raison pour laquelle mon blog, déménagé, conserve Les Ménines pour intitulé, et c'est également pour cela que je remets ces pages en ligne. J'espère que vous les jugerez avec indulgence.  


Signature de Velasquez
Les Ménines par Google

(Les Ménines revues et corrigées par Google pour l'anniversaire de Velázquez, le 6 juin 2008)

H


Pas de voyage pour Les Ménines


Une exposition consacrée à Velázquez s'est tenue à Londres à l'hiver 2006-2007.

Les Ménines de Picasso


Je ne pouvais pas évoquer les Ménines de Velázquez sans publier une reproduction d'une des versions de Pablo Picasso ! On y reconnaît fort bien, vous le verrez, le tableau de Velázquez, ne trouvez-vous pas ?

Et après ?


Que sont devenus les personnages des Ménines après la création du tableau ?

La vie de Velazquez en dates


Quelques éléments sur la vie du célèbre peintre des Ménines.

Les tableaux des Ménines


Hourrah ! Moi qui me suis longtemps lamentée de ne pas connaître les tableaux accrochés au mur du fond des Ménines, je les ai trouvés !

Le décor et les personnages secondaires


J'ai presque terminé ce cycle sur les Ménines, de Velázquez. Ce billet est en fait le dernier concernant le tableau lui-même. Il présente les décors et les autres personnages présents sur le tableau de Velázquez.

Le roi et la reine d'Espagne


Si vous avez lu mes précédents billets, vous avez beaucoup entendu parler d'eux : Marie-Anne d'Autriche et Philippe IV sont les parents de la petite infante Marguerite-Thérèse. Mais vous n'avez pas forcément remarqué qu'ils étaient présents sur le tableau... Pourtant ils sont là, l'un et l'autre :

Les nains et les demoiselles d'honneur


Voici ceux qui nous occupent aujourd'hui : les personnages du premier plan du tableau, mis à part bien sûr la blonde infante, notre petite Marguerite-Thérèse, dont nous avons déjà parlé.

Les portraits de l'infante Marguerite-Thérèse


Le tableau des Ménines est une oeuvre de propagande, visant à présenter la future reine d'Espagne, Marguerite-Thérèse : nous sommes en 1656, le petit infant Philippe-Prosper ne naîtra que l'année suivante et le futur mariage de sa soeur aînée, Marie-Thérèse, qui épousera soit Louis XIV, soit Léopold Ier, l'empereur du Saint-Empire-Romain-Germanique, l'élimine déjà de la liste des héritiers de Philippe IV. La presque-reine est encore petite, mais elle est blonde, charmante et en bonne santé. On lui a appris à tenir son rang et à respecter l'étiquette de la cour d'Espagne, l'une des plus contraignante au monde : elle sait rester debout plusieurs heures, elle ne rit ou ne sourit pas en public (chose interdite aux souverains espagnols. Philippe IV n'aurait souri devant sa cour que deux fois dans sa vie), elle ne regarde que les souverains ses parents, qui se trouvent à la place du spectateur. Elle est vêtue à la mode espagnole, c'est à dire qu'elle porte le traditionnel garde-infante qui doit empêcher toute personne de la toucher (autre contrainte de l'étiquette : les serviteurs n'ont pas le droit de toucher les souverains. Les gouvernantes promenaient les infant(e)s à l'aide d'une longue manche, la boba).

L'infante Marguerite-Thérèse


Voilà, j'ai un peu de temps pour vous parler, pardon, pour commencer de vous parler, des Ménines. Le personnage central de ce superbe tableau, comme vous l'avez sûrement remarqué, c'est une jolie fillette blonde, éclairée par un rayon de soleil, et qui rayonne de grâce et de beauté juvénile. Cette mignonne enfant de cinq ans fut pendant quelques années l'héritière du royaume d'Espagne, ce qui nous permet de posséder de nombreux portraits d'elle, peints par le peintre préféré de son père : Diego Velázquez.

Mais commençons par le commencement...

Les Ménines de Velazquez


Reproduction du tableau de Diego Velázquez.

mardi 27 décembre 2011

Marie-Adélaïde de Savoie - Sommaire.

Portrait de Marie-Adélaïde de Savoie par Pierre Gobert
Détail d'un portrait de Marie-Adélaïde de Savoie et ses enfants par Pierre Gobert (Madrid, musée du Prado)

Cette partie du blog est consacrée à Marie-Adélaïde de Savoie (1685-1712), duchesse de Bourgogne et petite-fille par alliance de Louis XIV qui vécut à Versailles de 1697 à sa mort, à l'âge de vingt-sept ans. Voici un sommaire pour vous aider à vous orienter :
Je vous propose d'écouter un court menuet composé par André Danican Philidor, dédié à "Madame la duchesse de Bourgogne", et interprété par Hugo Reyne et la Simphonie du Marais.



Hébé

Arbres généalogiques du duc et de la duchesse de Bourgogne

 
La généalogie du duc et de la duchesse de Bourgogne.

Le mausolée du duc et de la duchesse de Bourgogne


Gravure représentant le mausolée du duc et de la duchesse de Bourgogne lors de leurs obsèques, en 1712.

La succession d'Espagne


De succincts éléments pour comprendre la succession d'Espagne, à l'origine de la guerre du même nom (1701-1714).

Les enfants de Marie-Adélaïde de Savoie


Deux portraits des fils de la duchesse de Bourgogne.

Portraits de Louis XIV, Mme de Maintenon et le duc de Bourgogne.


Portraits des proches de Marie-Adélaïde de Savoie.

Le mariage du duc de Bourgogne - version commentée


Une version commentée du tableau d'Antoine Dieu.

Le mariage du duc de Bourgogne


Reproduction du tableau d'Antoine Dieu représentant le mariage de Marie-Adélaïde de Savoie et du duc de Bourgogne.

Les représentations de Marie-Adélaïde de Savoie


Les portraits connus de Marie-Adélaïde de Savoie.

Marie-Adélaïde de Savoie, une savoyarde primesautière


Si Marie-Adélaïde de Savoie figure encore dans quelques vieux dictionnaires, c’est pour être la mère de l’un de nos derniers rois de France, Louis XV. Près de trois siècles après sa mort, cette jeune princesse ne figure plus dans le petit Robert. Les encyclopédies interactives la mentionnent en une ligne et les livres scolaires ignorent son existence. Fauchée par la mort à vingt-six ans avec son fils aîné et son mari, elle ne porta jamais officiellement le titre de reine de France mais illumina la cour d’un Louis XIV vieillissant, que sa disparition prématurée laissa inconsolable.

lundi 26 décembre 2011

Voyage vers Le Caravage


Quelques détails et reproductions des toiles du Caravage, simplement pour le plaisir...

Actéon dans l'art


Excellent chasseur, élève du centaure Chiron, Actéon surprend un jour Diane, qui se baignait près d'une source en compagnie de Nymphes. Il prend la fuite, et s'aperçoit qu'il court beaucoup plus rapidement qu'à l'ordinaire. Près d'un cours d'eau, le malheureux découvre que la déesse l'a puni en le métamorphosant en cerf. Actéon périt dévoré par ses propres chiens.

David musicien


Voici l'histoire d'un roi qui était musicien.

dimanche 25 décembre 2011

Les Trois Grâces dans l'art


Les reconnaîtrez-vous si je les nomme Euphrosyne, Thalie et Aglaé ? Filles de Jupiter et d'Eurynome, ces trois splendides jeunes femmes ont pour mission d'apporter la joie aux dieux et aux hommes. Suivantes de Vénus ou d'Apollon, elles ont pour attributs une rose, un rameau de myrte, une pomme et un dé. Une fresque de Pompéi les montre nues et enlacées, l'une d'entre elles, au milieu de la composition, tournant le dos au spectateur. Cette disposition fut reprise plus tard par de nombreux artistes.

Cléopâtre dans l'art


     Il existe deux Cléopâtre. L'une fut la dernière reine d'Egypte. Ambitieuse et habile, elle n'hésita pas à devenir la maîtresse de Jules César, puis celle de l'héritier de ce dernier, Antoine, pour asseoir son pouvoir. Vaincue par Octave à Actium, en trente et un avant notre ère, elle préféra se donner la mort plutôt que de paraître au triomphe de son rival.

samedi 24 décembre 2011

E malo nascitur omne malum


« C'est de la pomme qu'est né tout le mal »...

... Ou comment ce fruit de l'hiver,  pour une raison d'homonymie, est devenu un fruit maudit.

dimanche 23 octobre 2011

Georges de La Tour


Pour illustrer la nouvelle bannière du blog, j'aimerais ce soir vous emmener vers certaines des toiles de Georges de La Tour (1593-1652), chantre des scènes intimistes éclairées à la bougie. Ces œuvres ont été réunies il y a une dizaine d'années au Grand Palais, à Paris, lors d'une exposition enchanteresse. Bon voyage...